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| instrument de vengeance ▬ OXYMORE | |
| Auteur | Message |
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Messages : 27 Date d'inscription : 04/11/2011
| Sujet: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Sam 5 Nov - 17:06 | |
| Mnemosyne Oxymore Aëleech | SURNOM ─ Némésis. ÂGE ─ Dix-huit années. DATE & LIEU DE NAISSANCE ─ Un douze avril, quelque part au fin fond de la Sibérie. ANCIENNETÉ ─ Un mois. FEAT ─ Fujiwara no Mokou de TOUHOU! PARTICULARITÉ PHYSIQUE ─
Que dalle. ... Enfin non, Oxymore est née avec des prunelles rougeâtres, de quoi réveiller les peurs saugrenues de tous ses enfants. |
Mon petit côté humain Oxymore, elle ressemble à une feuille de papier. Déchirée en mille morceaux, et qui n’attend qu’une seule chose, qu’on la recolle. Vous savez, comme ces nombreuses utopies que l’on vous narre quotidiennement. Ou cet avenir enfin décidé, et que vous allez changer dans quelques minutes. Oxymore, elle inspire toujours quelque chose à quelqu’un. Une connaissance, une ex-compagne, un coup-de-cœur, un vieil ami. Ou le souvenir d’une rencontre, d’un petit sourire qui vous aurez changé votre vie, de ses mots qui rappelaient d’ancien temps et qui blessaient. Oxymore, à travers son doux visage, inspire souvent quelque chose avec amertume, ou rancœur. A ce moment-là, elle lèverait la tête vers le ciel, pour que personne ne puisse voir son visage. Oxymore avec son regard rubis, Oxymore avec ses cheveux d'albinos, Oxymore avec ses traits pas trop fins, son absence d'épaisseur de lèvres. Ses open-toes et ses ongles rongés. Sa chevelure ébouriffée et sa petite moue au coin. N'est-elle pas attirante, la grande Oxymore.
Oxymore, elle ressemble à ses filles qui n’ont pas froid aux yeux, et qui n’hésite pas à vouloir perdre sa dignité dans le pire des cas. A l’entendre dire ses mots, elle semblait être partie pour de longs regards douteux, et effrayant. Cependant, la blonde platine se connaissait parfaitement, elle savait ses limites. Et n’hésitait pas à se priver. A l’entendre, elle semblait saine d’esprit, et vous vous enchantez d’avance de connaitre qui n’est pas perdu la tête. Et puis, elle n’était pas prête à se jeter dans la gueule du loup du jour au lendemain, ni de proposer une énième activité un peu trop excentrique. Elle était toujours là, un léger sourire maternel sur les lèvres, un air qui prêtait confiance, sa chevelure blanchâtre qui contrastait avec le ciel, elle et ses pupilles rougeâtre. Elle ressemble vraiment à un monstre. Elle, et son attitude calme et posée. Et puis, vous vous rendez compte que vous ne la connaissez pas. Le charme disparait. Car, Oxymore ne fait pas honneur à son nom. Cela ne lui ressemble pas, vous déclare une voix. Et puis, elle se mit à rire après l’acte. Vous étiez à de doigt de sauter dans ses bras, et de déclarer d’une voix cristalline « Soyons amis ! ».
« Oxymore est une vraie malade. » « Méfie-toi de cette fille. » « Eh, regarder ce que cette fille a fait endurer à ses pauvres enfants. » Et ce n’était pas fini. Ses mots, il arrivait rarement qu’elle l’est entende physiquement, mais généralement, elle ne perd pas son sang-froid. Elle garde son air actuel, sans crainte, ni gène. Ses sourcils ne se foncent pas quand elle passe à avant, aucun sentiment ne la traverse. Le regret, elle ne connait pas. Car oui, ce qui est dit est souvent vraie. Jeter un coup d’œil dans son casier judiciaire, et vous ne la verrez plus de la même façon. Pourtant, elle semblait fragile, elle semblait être gentille et pleine d’affection pour autrui. « Une vraie malade. » Oxymore a la faculté de toujours faire son travail avec soin. Elle est connue pour être quelqu’un d’extrêmement violente quand elle a les bons outils, et n’éprouve pas la moindre pitié face à cela. Faut dire qu’elle a baigné un peu trop tôt dans le bain. Papa s’en était chargé. « Méfie-toi. » Influente, comme sa mère devant ses clients. Elle ne s’y connaissait pas trop en psychologie, mais elle copiait-collait sa mère. Et l’effet était immédiat.
Toutes ses choses horribles. A croire que Oxymore n’avait pas de cœur, ou était le mal incarné. Vous savez, de nos jours les amis sont rares, et précieux. Et à ce moment-là, Oxymore peut être une vraie perle. Ou plutôt, elle agirait comme quelqu’un de normal, à la fois joyeuse, rêveuse, parfois curieuse, et un brin ironique. Mais, Oxymore fait très attention à ce qu’elle fait, car il arrive qu’elle s’attache de trop à quelqu’un, et qu’au final, ça lui fasse mal. Car elle a la poisse. Pour toutes les choses soi-disant normales, il arrive que son karma lui joue de mauvais tours. Et la pierre se brisera. Ma place à Limefield Quel est le pouvoir de votre personnage ? ─ IMMATÉRIALITÉ - au départ, ça peut être classe d'avoir ce don. Ne pas être toucher, traverser des murs ou une foule tout entière sans pouvoir bousculer quiconque. Entendre dire que Oxymore, t'a trop de chance d'avoir ce don ! Oui, ça l'est, ou ça ne l'est pas. C'est 50/50 tout dépend de la situation. C'est cool, personne n'arrive à t'attaquer. C'est nul, quand tu ne peux rien prendre entre tes mains. Enlacer quelqu'un, lui serrer la main, elle n'y arrive pas. Enfin, seulement quand il échappe à son contrôle. Un mois, c'est trop court. Alors, il arrive que des fois, son pouvoir s'actionne et se désactive que le lendemain. Alors, il arrive que des fois, quand elle est en danger, elle n'arrive pas à l'activer. « Oxymore, il est trop classe ton don ! » Les gens ne réfléchissent pas assez. Quel relation entretient-il avec son pouvoir ? ─ Oxymore se sent toute puissante. Elle a même l'impression qu'elle pourrait soulever des montagnes, vous savez, ces petits excès d'adrénalines qui remontent jusqu'à votre cerveau et qui vous rend fou. Oxymore l'aime dans les bons moments, Oxymore l’arbore quand elle ne peut plus rien faire normalement. De quel groupe est-ce que votre personnage fait partie ? Pourquoi avoir choisir ce groupe ? ─ OPPONENTS - A quoi bon vivre dans un rêve, dans cette utopie qui la fait prisonnière. Oxymore est surement l'un des membres n'ayant pas cette volonté qui caractérise tous les Opponents, non. Chez elle, c'est une sorte d'envie, une petite voix qui le murmure, lassée par tant de perfections. Alors, tous les moyens sont bons. Comment j'en suis arrivé là Ce n'était pas grand chose, cette rencontre. Elle n'était pas digne qu'on lance des feux d'artifices, ou de chantonner « We are the champions ». Non, ce n'était pas grand chose. Un simple café, un coup d'oeil, un petit sourire timide, une main sur la nuque, gêné. Un groupuscule d'amis qui les réunit et qui débloque tout. La petite Estrellas rougissant, trop gênée d'être devenu le centre de toute l'attention, le grand Jude perdant ses mots. « Tu as de beaux yeux. » Les pommettes encore rougies, elle leva brusquement ses prunelles rougeâtres vers l'individu. Tout n'était qu’honnêteté et douceur derrière ce regard émeraude. La petite ne fit que sourire, pas totalement sûre de l'avoir bien entendu. Plus tard, ils se revirent et conclurent. « Tu as de beaux yeux. » Elle l'avait bien entendue, elle en était sûre. Une petite larme silencieuse s'écoula, et d'enfin connaitre le bonheur, comme elle l'avait lu, comme elle l'avait entendu. Un mariage arriva rapidement, l'enfant lui, arriva un peu plus tard, juste après avoir cru qu'un des parents étaient stériles. Ils s'étaient tout d'abord installé au Danemark, avant de s'installer définitivement en Russie. Ce fût à la cinquième année de mariage que l'enfant arriva. Mnemosyne.
La petite Mnemosyne aimait beaucoup s'asseoir au bord de la fenêtre et regarder la neige tombée. Il ne fallut que trois ans pour que la mère et la fille s'exile au fin-fond de la Sibérie. Le mari, lui, préférait rester à Moscou pour ses affaires. Assez étonnant à dire, mais le père préférait appeler sa fille Oxymore, contrairement à sa mère, passionnée de mythologie. La petite Mnemosyne avait six ans, et elle n'avait quasiment pas d'amis de son âge. Le problème, ses yeux qui inspirent la peur, se plaignant sans cesse. Elle restait donc généralement cloitrer dans la petite maison qui les protégeait du puissant hiver sibérien, guettant sa mère qui passait d'une pièce à une autre pour faire on-ne-sait quelle broutille et qui avait toujours ce petit regard effrayé en regardant ce qui leur servait de téléphone fixe. « Papa revient quand ? » « Bientôt chérie, bientôt. » Mais que voulait dire ce « bientôt » si proche, mais en réalité si lointain ? Mnemosyne ne savait pas vraiment pourquoi son père était resté à Moscou. Son travail lui répondit évasivement sa mère, le crachant presque. Elle, petite fille juvénile et naïve, souriait et riait comme si c’était ce qu’elle devait faire. Et puis, arriva le jour où le téléphone sonna et où Mnemosyne fut consigner dans sa chambre pour ne rien entendre. Mais, elle voulait parler à son père qui lui manquait tant. Alors, elle ne respecta pas l’ordre de sa mère, et doucement, elle s’approcha du salon. Son père, elle en avait un vague souvenir, mais elle savait qu’ils s’adoraient. Le petit souvenir de celui-ci qui chuchotait sans cesse son nom, un cadeau dans la main, et qui la câlinait sans cesse. Le visage de sa mère, c’était un mélange de sentiments dont elles ne connaissaient que le tiers. Elle avait l’air d’avoir peur, et grinçait des dents. Et puis, elle commençait à avoir peur Mnemosyne, elle n’avait jamais vu sa mère parlé de cette façon. Elle décida de revenir dans sa chambre, et faire comme si de rien n’était. Un peu plus tard, elle n’osa pas lui demander, de peur que le sourire de sa mère ne disparaisse.
Mnemosyne trouvait que sa mère agissait très bizarrement avec des personnes du sexe opposé. Certaines fois, elle était même obligée d’aller dormir chez la voisine. Elle n’avait jamais essayé de comprendre, mais en regardant les agissements qu’avaient les autres avec sa mère, sa curiosité n’étaient que réveillée. Et puis à l’école, quand elle joue tranquillement à la balançoire et que d’autres bambins mués en groupe s’approchaient d’elle et qui lui murmurait des propos pas cohérents du tout pour son âge. D’ailleurs, elle avait déjà trouvé sa mère en train de faire des choses assez bizarres à quelqu’un. « C’est un ami, choupinette. » Et puis, elle comprit. Sa mère en fait, c’est une pute. Qui se guérissait de son mari.
Aujourd’hui, Mnemosyne a douze ans. Elle avait encore choppé un rhume, et sa mère lui interdit de quitter la maison pour s’amuser, de peur à ce que cela s’aggrave. Depuis son lit, elle entendit la porte grincée. Sa mère était surement rentrée. Il ne s’était pas passé grand-chose. Un pas irrégulier, et une porte qui s’ouvrait mal assuré. Et ces mots qui jaillirent, comme si la magie s’était emparée de la pièce. « Oxymore. » Mnemosyne n’avait rien dit. Elle l’avait reconnu depuis le début. Ses cheveux similaires au sien, sa voix grave, son regard. Elle avait juste eu peur que sa maladie lui joue des tours. D’un bond, elle quitta son lit pour se réfugier dans les bras de son géniteur. « Papa ! » C’était étrange, les autres enfants auraient surement détesté leur père, croyant qu’ils les avaient abandonnés mais pas elle. Elle, elle avait confiance en lui, confiance qu’il allait revenir un jour et il ne l’avait pas trahit ! Elle jeta un coup derrière son père, pensant automatiquement que sa mère serait avec lui, mais non. Etonnement. « Maman sait que tu es là ? » « Non, mais ça sera notre petite surprise d’accord ! » « Oui ! » Cet adorable sourire béat ne semblait pas vouloir la quitter, mais elle s’en fichait. Elle avait une raison, une très bonne même. Le soir même, la mère rentra. Tout devait bien se passait, elle en était sûre mais non.
Des voix. Elle à-part. « Pourquoi tu es là ? Pourquoi ? C’est pour Mnemosyne, c’est ça ? Tu ne l’auras pas ! » Qu’est ce qui se passait au juste ? Ses mots étaient si horribles, pourquoi elle était comme ça. « Une demande de divorce suffira pour que je l’ai. Elle est à moi. » Une voix qui sonnait faux, elle était faussement joyeuse. « Toute l’argent du monde ne suffira pas pour que tu es sa garde. … Qu’est ce qu-… » Un coup de feu. « Trainée. » Maman est morte.
L’enterrement eut lieu. Un accident. La police l’a conclu très rapidement, avec les propos d’un mari en larmes, et d’une fille qui n’arrivait plus à parler. Quelques personnes étaient venues aux funérailles, de la famille qu’elle n’avait encore jamais vu, des amis, et d’autres qu’elle ne peut citer. Suite à ça, Mnemosyne qui le fit transformée en Oxymore, partit avec son père à Moscou. Son père était assez évasif quand à la nature de son boulot, qui payait assez bien d’ailleurs. Entre temps, Oxymore recommença à parler mais s’éloignait du monde. Il arrivait des jours où elle passait ses journées sur le net, ou à lire, et puis son père ne disait pas grand-chose de ça. Finalement, elle préférait plus son père à sa mère. Et puis à ses quatorze ans, le père la fit rentrer dans son univers. « Tu vois, Oxy’. La vie, elle n’est pas entièrement rose. Alors, je vais te montrer la réalité. » La réalité, elle l’avait déjà vu en partie grâce à sa mère, mais là. Famille de fous.
Et la fillette se salit. Encore, et encore. Jusqu’à en devenir dépendante, jusqu’à attendre les paroles doucereuses de son père. Sa naïveté en pris un coup, sa candeur, sa pitié était comme partie. A ce moment-là, elle n’entendit plus rien. Et puis vient le jour où tout le réseau fût démantelé. Trafic d’organes. Le père partit directement en prison, la fille jugée psychologiquement fragile, fût interner plusieurs mois avant d’aller vivre chez sa grand-mère. Tout d’abord impitoyable, puis, elle l’a refit changer. Et elle redevint une fille normale qui allait en cours, mais qui se souvenait encore de l’atrocité des gestes. « Oxymore, tu vas être en retard ! » « Oui, j’arrive ! » Famille de fous. Et puis viens le jour où elle cliqua sur ce lien de téléchargement et qu’elle disparu littéralement de la surface de la terre. Et puis viens le moment où elle découvrit son pouvoir. Pendant quelques temps, elle sourit. Puis elle se mit à espérer de son retour, revenir chez sa grand-mère, femme à qui elle devait tout. Rentrer. Rentrer. Moi, geek et méchant MON P'TIT SURNOM ─ C'que vous vouleeeez. LE FORUM, JE L'AI DÉCOUVERT ... ─ Top-Site. SI JE ME SUIS INSCRIT, C'EST PARCE QUE ... ─ Parce que vous avez shooté le fow au LSD. Et c'est pas de l'opium Cater, je m'y connais. èè LE CODE ─ Mangé par Emi ♥
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Dernière édition par M. Oxymore Aëleech le Lun 26 Déc - 21:08, édité 11 fois |
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| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Sam 5 Nov - 21:51 | |
| Yo,
Bon bah je le redis hein ! Bienvenue parmi nous et amuse-toi bien ! Tu sais déjà que je kikeaf ton avatar ! /pan/ Hâte de lire la suite. /bus/ |
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Messages : 235 Date d'inscription : 25/10/2011 Age : 29 Localisation : Anywhere but here
| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Jeu 1 Déc - 16:52 | |
| Dear Oxy ,
Ça va faire un peu plus de deux semaines que tu as commencé ta fiche, alors tu sais, je dois faire mon boulot et te demander de tes nouvelles ! ♥ Tiens moi au courant de l'avancement de ta présentation, si tu as besoin de temps en plus, si tu as besoin de quoi que ce soit. Bref, tiens moi au courant. ♥ |
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Messages : 27 Date d'inscription : 04/11/2011
| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Ven 2 Déc - 10:26 | |
| DEJA DEUX SEMAINES ? OO wtf, le temps passe trop vite. ;; je suis désolée si ma fiche bouge pas, d'habitude ça m'arrive jamais, c'est surtout à cause des cours en gros. ;; enfin bref, j'ai déjà achevé le caractère et commencé un tout petit l'histoire, je eux juste tout posté quand j'aurai fini.
Voilà, encore désolée. ;; |
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Messages : 235 Date d'inscription : 25/10/2011 Age : 29 Localisation : Anywhere but here
| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Ven 2 Déc - 17:06 | |
| Pas de soucis Oxy chérie, c'était juste une manière détournée de te demander de tes nouvelles ;) Je te laisse dorénavant le temps qu'il faut pour finir ta fiche, je sais que les cours peuvent être oppressants. Je voulais juste être sûre que ta fiche était toujours d'actualité, que tu reviendrais. ♥
Je reviendrais demander de tes nouvelles dans deux semaines, bien sûr, n'hésite pas à nous en donner ! ♥ |
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Messages : 27 Date d'inscription : 04/11/2011
| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Dim 4 Déc - 17:54 | |
| END. Voilà voilà, le message de Naussi' m'a grave motivée, so tu n'auras pas à attendre encore deux semaines. Voilà voilà, merci Ronron en retard mais je voulais te le dire une fois finie, so. J'espère que la fiche conviendra à l'attente que je vous ai faite. Voilà, voilà. \o/ |
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Messages : 235 Date d'inscription : 25/10/2011 Age : 29 Localisation : Anywhere but here
| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Dim 4 Déc - 18:19 | |
| Oh, Oxy. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Ton style est meurtrier, c'est vraiment l'image d'un regard cynique sur un passé trop naïf. Vraiment, je voyais le flash back fâné à travers les yeux rouges que tu décris. Ça prend aux tripes, tu arrives à faire un point de vue faussement enfantin, pour montrer l'évolution d'un personnage qui n'a pas eut le droit à son enfance, forcée de grandir prématurément. Argh vraiment, tu m'impressionnes, c'est plein de panache. ♥
Il y a quand même quelques confusions -é/-er mais rien de trop horrible, promet moi d'y faire attention pendant tes Rps : word corrigera ça sans aucun soucis : alors je te fais confiance.
Donc oui je te valide, et plutôt deux fois qu'une. Tu peux aller Rp, flooder, courir dans les bois, faire une fiche de lien, whatever. Je te demanderai juste de rescencer avatar et pouvoir avant de faire quoi que ce soit. ♥
Bravo, ta présentation valait le coup de se faire désirer, amuse toi bien sur Common Dream, chère Oxymore. ♥ |
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Messages : 27 Date d'inscription : 04/11/2011
| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE Dim 4 Déc - 19:09 | |
| Arg, c'est ma bête noire j'y ferais plus attention. D: Tu me fais plaisir là Nausi-chou. ** Enfin bref, je cours je vole, j'ai hâte de rp avec ma petite Oxy ! ♥ |
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| Sujet: Re: instrument de vengeance ▬ OXYMORE | |
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| | | | instrument de vengeance ▬ OXYMORE | |
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